On utilise l’intervention palliative de Norwood pour les enfants qui n’ont qu’un ventricule qui pompe dans le cœur, par exemple dans le cas d’une atrésie aortique ou d’une hypoplasie du cœur gauche.
L’intervention de Norwood est habituellement pratiquée dans le cadre d’une série de chirurgies. Elle comporte la reconstruction de l’aorte au moyen de l’artère pulmonaire, afin de permettre au ventricule de pomper facilement le sang hors du corps. Elle comporte aussi le placement d’un shunt de Blalock-Thomas-Taussig (BTT) afin de maintenir la circulation sanguine vers les poumons.
Les risques liés à l’intervention de Norwood sont élevés. Il s’agit d’une opération majeure et complexe qui exige les soins d’experts avant, pendant et après l’intervention. Le travail d’équipe entre la cardiologie, la cardiochirurgie, l’anesthésie, les soins intensifs et tous les autres membres du personnel de soutien est essentiel. Le taux de mortalité peut s’élever à 20 % même dans les meilleurs centres, et la possibilité de complications est élevée avec un séjour prolongé à l’hôpital.
Les risques liés à l’intervention de Norwood sont élevés. Il s’agit d’une opération majeure et complexe qui exige les soins d’experts avant, pendant et après l’intervention. Le travail d’équipe entre la cardiologie, la cardiochirurgie, l’anesthésie, les soins intensifs et tous les autres membres du personnel de soutien est essentiel. Le taux de mortalité peut s’élever à 20 % même dans les meilleurs centres, et la possibilité de complications est élevée avec un séjour prolongé à l’hôpital.
La palliation complète comprend deux autres interventions : l’anastomose cavo-pulmonaire (intervention Glenn), ou le deuxième stade, et l’intervention de Fontan, ou le troisième stade. Le résultat à long terme de ces interventions combinées est méconnu, car les survivants les plus âgés ne sont âgés que dans leur trentaine.